comme ces derniers temps, je ne peux pas trop peindre, je lis beaucoup, encore plus que d'habitude, voici ma dernière lecture "Une putain d'histoire" de Bernard Minier.
dos de couverture
« Au commencement était la peur… »
Hors des flots déchaînés, une main tendue vers le ciel. Un pont de bateau qui tangue, la pluie qui s’abat, et la nuit… Le début d’une « putain d’histoire ».
Une histoire d’amour et de peur, de bruit et de fureur. L’histoire de Henry, 17 ans, que le meurtre de sa petite amie plonge dans l’enfer du soupçon. Sur son île, Glass Island, battue par les vents, cernée par la brume 360 jours par an et uniquement accessible par ferry, tout le monde connaît tout le monde, jusqu’au plus noir de ses secrets. Ou du moins le croit-on.
Quand la peur gagne, la vérité s’y perd…
Au départ, on peut penser à une petite vie banale, dans une petite ville banale, avec un groupe d'ados comme les autres, puis on tombe sur une histoire complexe et haletante maîtrisée jusque dans ses dernières lignes, un sens de la description au top, et une fin surprenante.
une histoire prenante, à dévorer